dimanche 1 mars 2015

Critique de Kingsman de Matthew Vaughn par Laura Brown



Synopsis :

       Lors d’une mission au Moyen Orient, le prestigieux espion britannique, Harry Hart, ne peut empêcher la mort de l'un de ses agents.
À son retour en Angleterre, il donne alors la médaille de bravoure au jeune fils de l'agent défunt nommé Eggsy.
Dix-sept ans plus tard, le professeur James Arnold est kidnappé par les agents de Richmond Valentine, un riche homme d'affaires au caractère étrange.
Au cours de cet affrontement, l'agent Lancelot est tué. Cet agent, tout comme Harry Hart, fait partie d'une agence d'espionnage nommée KINGSMAN, dont la  base secrète est située dans la boutique d'un grand tailleur, à Londres.
       Afin de remplacer le défunt Lancelot, l’agence doit trouver un jeune nouvel espion. C'est alors que l’agent Harry Hart se tourne vers Eggsy, qui se trouve en mauvaise posture, et le prend sous son aile.
Afin de succéder à Lancelot, Eggsy devra suivre un entraînement très intensif, dirigé par Merlin, un agent de Kingsman.


       D'habitude, je n’aime pas tellement les films d’espionnage, mais celui-ci m’a agréablement surprise.
Les effets spéciaux sont excellents, tout comme le jeu des acteurs. De plus, le réalisateur nous montre les deux visages d’une Angleterre : Eggsy, représentant la classe ouvrière, plutôt pauvre, et Harry Hart issu d’un milieu plus aisé. Matthew Vaughn dénonce également la forte emprise des technologies sur le monde, celles-ci pouvant devenir néfastes.


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